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FARINE

CHAVOUOT, LA FÊTE DE LA MOISSON
Parmi les particularités de la fête de Chavouot, relatives aux sacrifices (korbanot), on trouve l’offrande des deux pains. Ceux-ci étaient une oblation propre à cette fête puisqu’on ne la retrouve à aucun autre moment de l’année, et ces pains avaient en outre la particularité d’être confectionnés exclusivement à partir de farine de blé.
Dans les écrits de nos Sages, on trouve différents enseignements au sujet du blé. Le Maharcha, dans le traité Roch Hachana (16a) explique qu’à Pessa’h, on offre un sacrifice à partir d’une céréale propre à la bête, le sacrifice du omer qui est à base d’orge, car en sortant les enfants d’Israël étaient dénués de mitsvot, et n’avaient guère plus de mérites qu’une bête. Mais à Chavouot, avec la Révélation au Sinaï et le don de la Torah, le peuple d’Israël s’éleva audessus de tous les êtres de la Création, et mérita d’offrir un sacrifice fait à partir d’une céréale d’homme, les deux pains de blé. Le Chneï Lou’hot Haberit, citant le Tolaat Yaakov, dit que: «Le sacrifice offert le jour de Chavouot est fait de ‘Hamets et de Matsa. Le ‘Hamets correspond au corps et la Matsa, à l’âme.

Ainsi, ‘Hamets et Matsa sont offerts conjointement sur l’autel. De même, l’âme et le corps concevront ensemble du plaisir, dans le monde futur, après la résurrection des morts, en percevant un reflet du Divin, comme ce fut le cas pour Moché et le prophète Elie».
Le Rabbi de Loubavitch explique que la nécessité d’avoir du ‘Hamets, dans lesoffrandes de Chavouot, souligne que, lors de la résurrection des morts, le corps percevra la Présence divine, au même titre que l’âme.
La finalité de la créationde l’homme, qui est également celle de tout l’univers, est le service de D.ieu. Et nos Sages constatent, à la fin du traité Kiddouchin, que « j’ai été créé pour servir mon Créateur », en mettant en pratique la Torah et les Mitsvot. Or, l’âme, telle qu’elle se trouve là-haut, ne peut pas mener à bien un tel objectif. Elle doit donc descendre ici-bas et s’introduire dans un corps physique. Pour autant, l’âme et le corps n’apportent pas une contribution identique à l’accomplissement des Mitsvot. L’âme possède une qualité, sa spiritualité, son désir et sa soif de mettre en pratique la Torah et les Mitsvot. Le corps, en revanche, étant matériel, voile et occulte la spiritualité. Il est בס »ד naturellement attiré par les plaisirs grossiers de ce monde. Et seule l’âme qui l’habite lui insuffle le désir d’accomplir la Torah et les Mitsvot. Mais, par ailleurs, le corps possède également une qualité dont l’âme est dépourvue. Cette dernière, en effet, est incapable de mettre en pratique la Torah et les Mitsvot. Pour y parvenir, elle doit donc disposer des forces et des membres qui constituent le corps physique.
Il est, en conséquence, impossible d’accomplir concrètement la Torah et les Mitsvot autrement qu’en possédant à la fois une âme et un corps. C’est la raison pour laquelle la récompense, lors de la résurrection des morts, sera, elle aussi, conjointement accordée aux âmes vêtues d’un corps. Pour autant, le lien entre l’âme et le corps restera une nécessité, même après la résurrection, pour obtenir la vie. Il en résulte que, dans le monde futur, période que Chavouot préfigure, selon le Tolaat Yaakov, il y aura encore une différence entre la vitalité de l’âme et celle qui parvient au corps. Cette dernière devra encore passer par l’intermédiaire de l’âme, sans pour autant émaner d’elle, comme c’est le cas à l’heure actuelle. C’est pour cela que les sacrifices qui leur correspondent sont différents également. La Matsa, qui symbolise l’âme, est elle-même brûlée sur l’autel, sans aucun intermédiaire. Le ‘Hamets, qui fait allusion au corps, en revanche, n’est pas directement offert sur l’autel. La période du Omer jusqu’a la fête de chavouot est liée à une mitsva particulière, celle du hadash. L’offrande du
omer s’accompagne d’offrandes particulières et marque le début
du décompte des sept semaines qui séparent ces offrandes de celles de la fête de Chavouot. Elle autorise en outre à consommer les produits de la nouvelle récolte. Le hadash « nouveau » désigne, dans la Loi
juive, les produits céréaliers récoltés entre la fête de Pessah de l’année précédente et celle de l’année en cours, par opposition au yashan
«ancien», qui a été récolté avant la fête de Pessah de l’année
précédente. La Thora nous interdit de consommer de la nouvelle récolte aussi longtemps que l’on a pas présenté l’offrande du omer. Etant donné que nous ne pouvons pas, de nos jours, aussi longtemps que le Temple n’aura pas été reconstruit, présenter cette offrande, sa date reste une date butoir. Pour cette raison, même à notre époque, nous ne pouvons pas consommer de la nouvelle récolte puisqu’il est écrit : ledorothèkhem «dans vos générations». Selon la tradition rabbinique, les lois du hadash ne s’appliquent qu’aux cinq espèces: blé, orge, seigle, épeautre et avoine sur lesquelles la halla doit être prélevée. L’interdiction du hadash concerne non seulement les produits céréaliers mais aussi leurs dérivés consommables
(mais non avariés), comme les grains fermentés utilisés pour faire lever la pâte et le malt; les décisionnaires recommandent aussi de vérifier si un plat cuisiné par erreur avec un ustensile ayant été en contact avec du hadash, en a gardé une trace dans son goût. Diverses attitudes apparaissent vis-à-vis du hadash parmi les autorités Rabbiniques. Le Rabbi Yosseph Caro (Sefaradim) dans le houlhan Aroukh )Yore Dea 293:3 (apporte la position majoritaire selon laquelle le hadash est interdit par la Torah, en terre d’Israël ou en diaspora, et seuls les produits céréaliers dont le statut de yashan est connu avec certitude sont permis à la consommation. Le Rama, (Achquenazim), ajoute que dans les pays où la saison hivernale s’étend au-delà de Pessa’h, il est bon de s’abstenir de tout hadash à titre personnel mais non d’enseigner aux gens de l’endroit que ces produits sont interdits car il vaut mieux qu’ils fautentpar ignorance que par volonté délibérée.
Rabbi Shabbataï Hacohen (293:6) et Rabbi Yeshaya Horowitz (Shaar haotiot, ot kouf) s’empressent de réduire la permission du Rama aux pays où les céréales représentent la seule source d’alimentation mais non à ceux où il est par exemple possible de boire du vin plutôt que de la bière. Le Gaon de Vilna (293:3) appuie cette position ainsi que le Premier Rabbi
de Loubavitch Admour Azaquen (Orah Hayim 489:29-30) qui se
positionne pour l’adoption de l’attitude sévère énonçant que «tout baal nefesh (personne dotée d’une âme) ne s’appuiera pas sur ces autorisations et s’imposera autant que cela lui est possible». Le Michna Beroura (489:45)
adopte l’avis du Rama recommandant la stricte observance du hadash à titre personnel mais aussi le respect de ceux qui professent
l’opinion différente. Malgré les nombreuses restrictions entourant
le hadash, celui-ci a peu de répercussions pratiques de nos jours car, en vertu de l’opinion du Rama, des céréales dont le moment de germination n’est pas absolument certain ne doivent pas être interdites à la consommation. De plus, l’usage actuel étant d’entreposer les récoltes de céréales dans des silos (et d’importer), la probabilité de consommer du hadash devient faible. Enfin, en terre d’Israël même, l’ensemencent se fait en hiver.
Cependant, et en vertu même de cette faible probabilité, les rabbins se montrent d’autant plus pointilleux sur le hadash que l’interdiction de tel ou tel produit en contenant ne risque pas d’entraîner une famine chez les consommateurs et en particulier pour les Sefaradim et pour les
Hassidim qui se montrent stricts sur le sujet du hadash. Pour les raisons évoquées plus haut, le Badats Ihoud Harabbanim lamehadrin s’est vu pour
mission d’introduire sur le marché du Cacher en France et en Europe, une farine cacher lamehadrin sans risque de l’interdiction du hadash, cette farine portant la marque, mémé Hélène, pour la confection des hallot pour le Chabat et les jours de fête. La mitsva est dans la farine et la braha est dans le pain Une des trois mitsvot propres aux femmes juives est la mitsva de la Halla. Cette mitsva amène la bénédiction dans la maison dans tous les domaines matériels et spirituels, et elle revient aux femmes juives qui s’appliquent à préparer les Hallot pour Chabat et pour les jours de fête.
C’est par le mérite des femmes pieuses que le peuple d’Israël a été délivré d’Egypte, et c’est par leur mérite que l’on sera de nouveau délivré.

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VOLAILLE YESH

La cacherout portant la marque Yesh a acquis une réputation très prestigieuse autant dans la qualité de la cacherout que dans la qualité du produit. Quel est son secret?
On peut résumer cela en deux points:
Premièrement, constituer une bonne équipe de Chohatim, de Bodekim et de Macheguihim craignant D… et de très bonne renommée, expérimentés et qui exercent leur métier depuis plusieurs années, et, point important, que l’équipe soit bien soudée. Et à nous les Rabbanim du Ihoud, d’être à leur disposition pour répondre à leurs questions et être à leur écoute dans tous les domaines matériels et spirituels.

Deuxièmement, organiser la Chehita et travailler dans une cadence et une quantité raisonnable, ne pas rentrer dans une course de production en quantité, la qualité étant bien plus importante que la quantité.
Nous sommes arrivés à constituer une excellente équipe qui travaille dans de très bonnes conditions, sans stress et dans la bonne humeur. La Chehita du Ihoud a réuni toutes les exigences de la Halaha, sans toucher à la qualité du produit.
Pour chaque Chehita, on se renseigne auparavant de la provenance des poulets et que ceux-ci soient en bonne santé. Grâce à D…, pour notre Chehita, le poulet est de très bonne qualité et en bonne santé. Toutes les règles de Cacherout, dans toutes ses étapes, sont respectées de manière parfaite. Nous exigeons que le poulet soit complètement ouvert par le dos et que la salaison se fasse sur une table et que la quantité de sel recouvre toutes les parties du poulet et nous nous assurons auparavant de la propreté de l’intérieur du poulet.

Notre cachérisation ressemble à celle de nos ancêtres, celle qui se passait à la maison, autant pour le salage que pourle trempage, avec toutes les exigences. Toutes les étapes de la Chehita jusqu’à l’emballage se font très minutieusement avec une bonne équipe de Chohatim et Machguihim. Les exigences de la Chehita du Ihoud sont la vérification de chaque poulet du Tsoumat Haguidim, en ouvrant le bas de la cuisse du poulet, Bédikat Haréot, vérification des poumons, Bédikat Kourkevan, vérification du gésier, Bédikat Méaïm, vérification des intestins. Nous retirons complètement la queue du poulet et faisons aussi une entaille au niveau du cou pour que l’ouverture des canaux de sang se fasse, pour une meilleure cachérisation. On retire complètement les extrémités des ailes, le côté qui est appelé Kanaf Hachelichi, pour faciliter la cachérisation et cela afin d’être conforme à tous les avis du Choul’han Arou’h. La Chehita du Ihoud a réuni toutes les exigences de tous les décisionnaires.

Venons-en à parler de la Chehita Loubavitch du Badats Ihoud Harabanim, a-t-elle une particularité par rapport aux autres Chehitot
A l’époque, il existait une différence par rapport aux types de couteaux qui étaient utilisés pour la Chehita. Les Hassidé Habad depuis l’époque de l’Admour Hazaken, utilisaient un type de couteau appelé meloutach, c’est-à-dire poli. A cette époque, les mitnaguedim s’étaient rassemblés pour sortir contre cette chehita, prétextant qu’elle n’avait aucune base selon la halaha. Et nos maîtres, les rebbéim habad, ont combattu pour garder ce type de couteau pour la chehita. De là est né le terme de chehita habad, soit une chehita faite par un couteau meloutach.

Par la force des années, tout le monde a commencé à l’utiliser et à faire la chehita avec un couteau meloutach, car ils se sont rendu compte qu’il était tout à fait méhoudar. De nos jours, il n’existe plus de différence au niveau des couteaux. Par contre, le terme a été conservé par rapport au chohet qui fait la chehita, à savoir un chohet qui va au mikvé tous les jours et qui étudie la hassidout. De même, cela inclut de faire la prière avec concentration.

Et, bien évidemment qu’il ne taille aucunement sa barbe. Certains rajouteraient que le chohet suive les coutumes Habad. Tous ces critères sont appliqués pour la Chehita du Badats Ihoud Harabanim La base de tout est la piété du Chohet, sa Yrat Chamaïm. Il est sûr qu’il doit appliquer toutes les règles de la Halaha avec exigence, comme le cite le Choul’han Arou’h. Mais au-delà de cela, sa crainte de D…, comme cela est cité dans le Saint Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, ainsi que dans le livre du Tséma’hTsédek qui était son petit-fils, qu’il est exigé que le Chohet soit craignant D… d’une manière exceptionnelle dans les trois domaines sur lequel le monde tient, l’étude de la Torah, la prière et les bonnes actions. L’étude de la hassidout aide le Chohet dans la perfection de son travail. La Chehita du Badats Ihoud Harabanim repose sur les régles et les enseignements de nos Rébéim Habad, à commencer par le Admour Hazaken, jusqu’aux enseignements du Rabbi dans les différentes lettres du Igrot Kodesh, où il nous parle de l’importance du travail du Chohet et de sa crainte de D…

LA VIANDE DU IHOUD La viande du Badats Ihoud Harabanim, appelée « Glatt Halak Beth Yossef », est considérée comme le meilleur niveau de cacherout pour la viande. En fait, l’appellation ‘Halak fait référence à l’état des poumons de l’animal. En effet, lorsque l’on effectue une Chehita, il faut s’assurer que la bête abattue ne soit pas atteinte d’une maladie mortelle. Les maladies pulmonaires étant les plus courantes et souvent mortelles, nos Sages ont exigé de procéder à une vérification systématique des poumons de l’animal. Selon la majorité des décisionnaires, les poumons d’une bête « Halak » ne présentent aucun
défaut ni aucune cicatrice, ce qui laisse présager que le poumon n’a pas été perforé et que la bête est saine. Ce sont les exigences de notre Maître Rabbi Yossef Karo, l’auteur du Choul’han Arou’h, d’où l’appellation « Halak Beth-Yossef ».

Il y a 65 ans, lors d’une réunion du conseil du Grand Rabbinat d’Israël, certains Rabbanim avaient proposé pour l’unification des communautés Achkénazes et Séfarades de Jérusalem, entre lesquelles il y avait pas mal de conflits concernant l’abattage rituel et les abatteurs rituels, d’unifier les abattages rituels, et d’instaurer l’abattage rituel à Jérusalem selon les usages Achkénazes, ce qui inclut également cette autorisation que si les Sirkhot se retirent facilement en appuyant dessus, la bête est Cachère.

Le Richon Letsion le Gaon Rabbi Ben Tsion Méïr Haï Ouziel zatsal, désirant conserver des rapports de paix entre les différentes communautés de Jérusalem, accepta cette proposition, bien que cette proposition entraînera aussi à des Séfaradim de consommer de la viande qui possède des Sirkhot écrasées à la main. Mais le Grand Rabbin de Jérusalem, le Gaon Rabbi Tsvi Pessah Franck zatsal protesta contre une telle proposition. Il fit même la menace que si l’abattage rituel des Séfaradim était interrompu à Jérusalem, qu’il montera un nouvel organisme qui veillera à ce que l’abattage rituel pour les Séfaradim respecte toutes les exigences de Rabbi Yossef Karo zatsal l’auteur du Choul’han Arou’h. Cette proposition fut totalement abandonnée! De là l’importance à toute la communauté Séfarade de consommer la viande « Halak ». Aujourd’hui les gens pieux de toutes les communautés ne consomment que cette viande! Un exploit par une équipe de professionnels

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VIANDE HALAK

La viande Halak c’est quoi ?

La viande Yesh du Badats Ihoud Harabanim, appelée «Glatt Halak Beth Yossef Chehita Loubavitch», est considérée comme
le meilleur niveau de cacherout pour la viande. En fait, l’appellation ‘Halak fait référence à l’état des poumons de l’animal.
En effet, lorsque l’on effectue une Chehita, il faut s’assurer que la bête abattue ne soit pas atteinte d’une maladie mortelle.
Les maladies pulmonaires étant les plus courantes et souvent mortelles, nos Sages ont exigé de procéder à une vérification
systématique des poumons de l’animal. Selon la majorité des décisionnaires, les poumons d’une bête « Halak »
ne présentent aucun défaut ni aucune cicatrice, ce qui laisse présager que le poumon n’a pas été perforé et que la bête est saine.
Ce sont les exigences de notre Maître Rabbi Yossef Karo, l’auteur du Choul’han Arou’h, d’où l’appellation « Halak Beth-Yossef ».
La Chehita du Badats Ihoud Harabanim repose sur les règles et les enseignements de nos Rébéim Habad, à commencer par le Admour Hazaken, jusqu’aux enseignements du Rabbi dans les différentes lettres du Igrot Kodesh, où il nous parle de l’importance du travail du Chohet et de sa crainte de D.

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LAIT HALAVIE

Existe-il vraiment un lait surveillé(Halav Chamour)à ?

Le Badats Ihoud Harabanim voit une importance majeure de partager avec la communauté les différents dossiers de
la cacherout et surtout les informer de toutes les étapes de ses produits portant son label Badats Ihoud Harabanim.

Un dossier important concerne la fabrication du lait et la fabrication du fromage, le Badats Ihoud Harabanim
a obtenu un niveau de cacherout le plus strict de halav chamour (halav israël) et cela dans les plus petits détails de la halaha, avec les mêmes critères que ceux obtenus en Israël avec le lait et les produits laitiers du Badats de la Eda Haharédit ou du Rav Landau de Bné Brak.
Mis à part le côté de la Hala’ha qui est très stricte au sujet du halav israël,il y a aussi des raisons
kabbalistiques pour être strict à ce sujet, des raisons spirituelles selon lesquelles
la consommation du lait qui n’est pas Halav Israël peut conduire à un « timtum ha-lev »,
une fermeture spirituelle du cœur.
Il est extrêmement important de pouvoir donner à la communauté juive de France et d’Europe un niveau de cacherout de haut niveau pour le lait et les laitages, pour cela le Badats Ihoud Harabanim a échangé des
informations avec les Rabbanim de la société laitière de «Tnouva» qui est la principale fabrication de lait et de fromages en Israël, pour que leur fabrication et leur production puissent être dans les mêmes normes qu’en Israël, «Tnouva» lamehadrin, selon les critères du Badats Eda Haharédit.
Quand le Badats écrit sur l’emballage « Halav Israël lamehadrin min hamehadrin, surveillé depuis le début de la traite et jusqu’à la fin de la production », dans cette production sont inclus tous les détails même les plus petits, avec tous les Idourim et bien sûr que la présence du Machgiah à la ferme pendant toutes les traites a été respectée.

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Chou Fleurs & Brocolis

L’impossible a été réalisé !

Avec le IHOUD les brocolis et choux fleurs n’ont plus besoin de Bdika (vérification)

Le brocoli et le chou-fleur sont des légumes très appréciés en général, et de plus, ils sont riches en vitamines et minéraux, ce qui en fait des aliments aux nombreux bienfaits et atouts pour notre santé.
En revanche, ces légumes sont aussi très appréciés des «petites bêtes», dont la consommation nous est interdite. Malgré leur petite taille, ils nous sont défendus à la consommation par 5 interdits distincts de la Torah.
Contrairement aux autres légumes à feuilles, qu’il est possible de vérifier et de nettoyer, l’inflorescence du chou-fleur et du brocoli ne permet pas un nettoyage efficace, d’aucune manière que ce soit.
Concrètement, le brocoli et le chou-fleur que l’on trouve sur le marché en frais ou en congelé sont infestés d’insectes et il est interdit
d’en consommer sous aucune manière.
Au vu de cela, nous avons réussi à relever le défi avec un projet qui a pris beaucoup de temps et d’investissement pour permettre à la communauté juive de France et d’Europe d’obtenir le meilleur niveau de Cacherout sans crainte de transgresser les interdits de consommer des légumes infestés d’insectes.
Les fleurettes de brocolis et les fleurettes de choux-fleurs de la marque MH Mehadrin avec la Cacherout Lamehadrin du Badats Ihoud Harabanim sont traités et vérifiés, sans crainte de présence d’insectes, car ils sont cultivés en serres quasi hermétiques, entourées de moustiquaires et de bâches en plastique, pour empêcher complètement la pénétration de tout type d’insectes.
Ainsi, ces brocolis et choux-fleurs, qui sont en constante surveillance par une équipe de surveillants rabbiniques ne risquent aucunement d’être infestés ou de posséder un quelconque insecte, et, le plus important est l’absence totale d’insectes à l’intérieur des fleurettes du chou-fleur ou du brocoli. De plus, afin d’être totalement rassurés, après la cueillette nous les faisons passer par deux jacuzzis d’eau avec un peu de savon, puis ils sont rincés et enfin congelés et de cette manière ils sont propres à la consommation, sans aucun insecte, et peuvent être consommés sans crainte et sans vérification.

Les brocolis et choux-fleurs de la marque «MH MEHADRIN» avec la cacherout du Bazatz Ihoud Harabonim grâce à Hachem et grâce au travail intense de toute l’équipe des Rabbanim et surveillants, s’aligne au même niveau de Lamehadrin que les produits de brocolis et choux fleurs commercialisés en Israël par Netser Mehadrin, Glatt Frost et Bedek portant la Cacherout de la Eda Haharedit et du Rav Landau

Une des nombreuses visite des rabbanim du Badats Ihoud Harabanim le Dayan Rav Yaavoc Haviv Le Rav Amram Edery grand décisionnaire de la Cacherout et auteur de nombreux ouvrages sur la Cacherout le Machgiah Rav Yehezkiel Manau responsable de la vérification des fruits et légumes pour le Badats Ihoud Harabanim